Laurent, propriétaire

Qu’est-ce qui vous plaît le plus de votre entreprise La Clef de Voûte?
Le désir que l’on a de faire de belles choses, et de les faire différemment. On est toujours en train d’essayer d’améliorer nos méthodes et de trouver de nouvelles idées. On souhaite être en mesure de bien cerner le besoin du client et de lui offrir un produit qui soit technique, beau et durable.

Qu’est-ce qui vous passionne dans votre métier?
C’est un métier qui est en constante évolution grâce aux nouvelles technologies et aux nouveaux matériaux. Les architectes, les designers et les clients nous donnent la possibilité de fabriquer des pièces très variées à partir d’éléments différents. Ce n’est pas routinier : on crée des œuvres uniques.

Le projet le plus marquant sur lequel vous avez travaillé?
La maison Bromont a été une magnifique réalisation. Notre plus gros projet, qui aura fini par s’échelonner sur trois ans! Nos réalisations s’étendent dans toute la maison en passant par la cuisine, les salles de bain, la cage d’escalier, le walk-in, le cellier, jusqu’à la table chauffée à l’extérieur. Avec ce genre de travail, le terme ébénisterie n’est plus assez juste. Il faut plutôt parler d’aménagement d’espace.

Alexis

Pourquoi est-ce agréable de travailler pour La Clef de Voûte?
Parce que j’aime beaucoup les projets pour lesquels on travaille. Des lignes modernes, un style épuré, des designs pas trop chargés; l’esthétisme que l’on préconise me ressemble.

Qu’est-ce qui vous passionne dans votre métier?
C’est tout simple : c’est le travail du bois. J’apprécie le sentir, le toucher; j’aime son aspect. C’est aussi un métier où l’on apprend sans arrêt parce que les matériaux, les techniques et les machines évoluent. Et ces défis techniques continueront à se transformer dans 10 ou 15 ans. C’est la beauté de la chose!

Le projet le plus marquant sur lequel vous avez travaillé?
Une maison dans Westmount a été une belle aventure. Nous avons travaillé avec différentes matières; des planches de bois de cèdre ainsi qu’un nouveau matériau importé d’Europe (un mélange de plastique et de ciment) et ce, autant à l’intérieur qu’à l’extérieur. On devait créer une continuité entre les deux espaces. Un beau défi!

Alexandre

Pourquoi est-ce agréable de travailler pour La Clef de Voûte?
Comme on n’est pas nombreux, tout le monde se connaît. J’aime ce sentiment de proximité dans un milieu de travail, tout à fait le contraire de ce que l’on trouve dans une grosse usine impersonnelle.

Qu’est-ce qui vous passionne dans votre métier?
C’est le côté humain qui m’attire. On travaille fort à toutes les étapes de la production et lorsqu’on livre la marchandise, c’est très satisfaisant. Je me sens fier de voir un client heureux. Je considère que c’est une partie de ma paye.

Le projet le plus marquant sur lequel vous avez travaillé?
Chaque projet est marquant. Il y en a un qui se démarque du lot, pas nécessairement pour la création en tant que telle, mais plutôt pour le côté humain. Le client était fort agréable à côtoyer. Il nous recevait chez lui comme des invités et non comme des employés. C’est un mandat qui s’est étendu sur une période de six mois. Nous avons pratiquement refait toute la maison; la salle de bain, la chambre à coucher, le lit… Dans la cuisine, nous avons conçu des tiroirs électriques pour la toute première fois avec de nouvelles composantes de quincaillerie. C’était un design continu à travers toute la maison; les mêmes lignes se répétaient de pièce en pièce.

Audrey

Pourquoi est-ce agréable de travailler pour La Clef de Voûte?
Ce sont nos créations qui m’allument. On fait vraiment de belles choses! J’aime voir les dessins se transformer en objets réels. Dans mon travail, je touche à tous les projets. Je fais en sorte que les pièces soient parfaites avant la livraison. Je peux donc observer de près toutes les créations de l’entreprise.

Qu’est-ce qui vous passionne dans votre métier?
J’aime travailler fort; surtout quand ce sont de gros projets qui présentent des défis. Je me plais à défier les contraintes. Dans notre métier, la plupart du temps, ce sont les délais qui sont notre grand obstacle. Parfois, la conception et le choix des matériaux sont des étapes qui demandent un peu plus de temps. Alors, quand vient le temps d’exécuter le travail, il faut redoubler d’ardeur pour respecter l’échéance de départ. Ça me stimule!

Le projet le plus marquant sur lequel vous avez travaillé?
Un contrat de grande envergure que l’on a fait pour un client à Bromont. Nous refaisions l’intérieur complet de la maison. C’était un défi de perfection parce que le design se voulait simple, uniforme, lisse et donc, parfait! Je me souviens que l’escalier était si imposant que l’on a dû le monter de façon horizontale dans l’atelier.

Julianne

Pourquoi est-ce agréable de travailler pour La Clef de Voûte?
J’aime bien quand les entreprises ne sont pas trop grosses. L’ambiance est plus conviviale. Ça nous permet aussi de toucher à tout. On peut observer aisément toutes les étapes de la création.

Qu’est-ce qui vous passionne dans votre métier?
Le fait que ce soit un métier très manuel. J’apprécie beaucoup la matière première, le bois, mais aussi l’ingéniosité dont il faut faire preuve lorsque vient le temps de la conception. Parfois, les architectes dessinent des plans audacieux et on doit tenter de chercher des solutions pour arriver à les concrétiser.

Le projet le plus marquant sur lequel vous avez travaillé?
Un îlot de cuisine. C’est un projet sur lequel j’ai travaillé de A à Z, du premier plan jusqu’à ce que je constate la satisfaction du client une fois la pièce installée chez lui. Il souhaitait avoir un fini métallique. On a donc travaillé avec du MDF et du métal. L’anecdote intéressante : la méthode employée pour l’étape de la finition était celle utilisée pour les carrosseries de voiture. Le résultat était très réussi!

Léandre

Pourquoi est-ce agréable de travailler pour La Clef de Voûte?
Je travaillais à mon compte avant et je me butais souvent à de petits obstacles techniques. Ici, je sens qu’on a les moyens de nos ambitions. Les choses roulent bien; on réalise absolument tout ce que l’on souhaite faire. C’est motivant d’être capable d’atteindre ses objectifs.

Qu’est-ce qui vous passionne dans votre métier?
C’est fantastique de pouvoir réaliser nos souhaits ou ceux de nos clients, de partir d’une idée, de la dessiner et de la construire. On peut, à notre façon, changer la vie des gens avec nos meubles et nos installations.

Le projet le plus marquant sur lequel vous avez travaillé?
Une bibliothèque intégrée. Nous avons transformé tout un pan de mur en une installation imposante pour ranger ses nombreux livres et pour intégrer son téléviseur et sa chaîne stéréo. La cliente avait fait des économies afin de pouvoir s’offrir la pièce sur mesure de niveau supérieur dont elle rêvait. Une belle philosophie de consommation selon moi!

Benjamin

Pourquoi est-ce agréable de travailler pour La Clef de Voûte?
On est comme une famille. On partage nos bonheurs autant que nos malheurs. On est appelé à se côtoyer de manière plus personnelle. On crée des liens plus facilement.

Qu’est-ce qui vous passionne dans votre métier?
L’ébénisterie est en constante évolution. Chaque journée apporte son lot de défis et de problèmes à résoudre, mais c’est ce qui fait que ce métier est stimulant. Tenter de trouver des solutions ingénieuses nous tient éveillés et en alerte. Comme nous faisons du sur-mesure, le travail n’est jamais routinier. On s’inspire des désirs du client et on crée toujours de la nouveauté.

Le projet le plus marquant sur lequel vous avez travaillé?
Je me souviens très bien du premier mandat qui m’a été confié. J’ai dû faire la conception et la construction de la porte d’entrée d’un magasin. Une véritable course contre la montre, vu les délais. On travaillait avec un métal au fini spécial; aucune colle n’adhérait sur cette surface. Nous avons fait de nombreux tests et nous avons finalement dû utiliser une colle qui sert à fixer les pièces d’un avion! Lorsque le temps fût venu de coller nos pièces, nous étions comme des funambules sans filet; il fallait y aller avec doigté parce qu’on ne pouvait pas recommencer.